Mercredi 17 avril
14h30
L’évasion
L’évasion
Au Domaine, une fille et un garçon n’ont pas le droit de s’isoler dans une chambre. Comment faire quand on cherche un peu d’intimité ?
Mercredi 17 avril
14h30
Neblina chelou power
Neblina chelou power
Suite à la découverte de films antédiluviens de Jean Cocteau et Maya Deren, nous sommes partis filmer et truquer le réel de la rivière Durance pour y invoquer Neblina, jeune fille aux pouvoirs super-naturels…
Mercredi 17 avril
14h30
Meshes of the Afternoon
Meshes of the Afternoon
Une fleur solitaire sur une longue allée, une clé qui tombe, une porte déverrouillée, un couteau dans une miche de pain… Ces objets anodins se chargent d’inquiétude, de symboles, à mesure que l’emprise du cauchemar se resserre…
Maya Deren a été une figure majeure du cinéma expérimental dans les années 1940-1950, avec des courts métrages où surréalisme et psychanalyse se mêlent jusqu’à l’hypnose. Ce court métrage mythique fait partie du corpus de films qui a nourri les ateliers Passeurs d’images.
Mercredi 17 avril
20h30
Adieu sauvage
En présence du réalisateur
Adieu sauvage
En présence du réalisateur
Le réalisateur Sergio Guataquira Sarmiento, lui-même descendant d’une communauté autochtone colombienne presque disparue, part à la rencontre des Cacuas pour parler de leurs sentiments, de leurs amours, de leur solitude… et renouer ainsi avec sa propre indianité. Tout en humour et en tendresse, les Cacuas tentent de lui apprendre ce que c’est que d’être un autochtone. Cette quête initiatique est une radiographie émotionnelle de tout un peuple.
Production Fox the fox (Micha Wald), Grand Angle Productions Image David Garcia Son Nicolas Pommier Montage Noé Bries Silva Musique Clémentine Pacalet
Jeudi 18 avril
9h00
Adieu sauvage
En présence du réalisateur
Adieu sauvage
En présence du réalisateur
Le réalisateur Sergio Guataquira Sarmiento, lui-même descendant d’une communauté autochtone colombienne presque disparue, part à la rencontre des Cacuas pour parler de leurs sentiments, de leurs amours, de leur solitude… et renouer ainsi avec sa propre indianité. Tout en humour et en tendresse, les Cacuas tentent de lui apprendre ce que c’est que d’être un autochtone. Cette quête initiatique est une radiographie émotionnelle de tout un peuple.
Production Fox the fox (Micha Wald), Grand Angle Productions Image David Garcia Son Nicolas Pommier Montage Noé Bries Silva Musique Clémentine Pacalet
Jeudi 18 avril
14h00
Corps tannés
Corps tannés
Le dimanche soir, les boxeureuses du collectif La Frapppppe s’entraînent dans un parc à Marseille. Les corps se mettent en mouvement, et forment peu à peu une communauté de gestes, de sensations et d’émotions.
Assistante réalisation Sarah Bonhomme Image Margaux Sirven, Sarah Bonhomme, Malou Six Son Célia Derlon Montage Balthazar Le Cléac’h
Jeudi 18 avril
14h00
Manger Nénuphar
Manger Nénuphar
Dans les Hautes-Alpes, Jeff fait naître, soigne et abat ses animaux. Il s’est engagé avec d’autres éleveurs dans un abattoir paysan. Il y accompagne ses bêtes jusqu’à la fin, les mettant à mort par ses propres soins.
Ce film montre en détail l’abattage d’un animal, pratiqué dans des conditions respectueuses.
Image Balthazar Le Cléac’h, Lisa Ferraris Son Nathan Hego, Ttale Haran, Tristan Chossat Montage Jeanne Ravel
Jeudi 18 avril
21h00
Coconut head generation
En présence du réalisateur
Coconut head generation
En présence du réalisateur
Tous les jeudis un groupe d’étudiants de l’université d’Ibadan, la plus ancienne du Nigeria, organise un ciné-club, transformant un petit amphithéâtre en une agora politique où s’affine le regard et s’élabore une parole critique. « Coconut Head Generation », expression méprisante pour désigner une jeunesse bornée et sans cervelle, prend un tout autre sens lorsque les étudiants retournent ce stigmate à leur avantage pour revendiquer leur liberté de pensée.
Dans le cadre de ces projections, on ne se contente pas de regarder les films. On vient aussi pour débattre : intersectionnalité, décolonisation, luttes féministes, luttes LGBT, minorités ethniques du pays, droits des étudiants ou élections.
Tom et Nathan, Cinéma Spoutnik
Production Ajímátí Films Image Alain Kassanda, Tobi Akinde Écriture, son, montage Alain Kassanda, Musique Jr EaKEe
Vendredi 19 avril
9h00
Sukar
Sukar
Sur la plage de Casablanca, deux adolescents, leurs jeux, le marchand de beignets et la ronde des policiers… Un tableau estival onirique aux couleurs acidulées.
Vendredi 19 avril
9h00
Vibrations from Gaza
Vibrations from Gaza
Les enfants sourds de Gaza racontent comment ils vivent les attaques militaires d’Israël. Un film touchant et plein de vie, malgré le son des drones.
Vendredi 19 avril
9h00
Et si le soleil plongeait dans l’océan des nues
Et si le soleil plongeait dans l’océan des nues
Raed, agent de sécurité sur un chantier, doit empêcher les promeneurs d’accéder au bord de mer. Mais alors que l’horizon est bouché chaque jour davantage par les constructions, Raed fait des rencontres singulières.
Vendredi 19 avril
14h00
Adieu sauvage
En présence du réalisateur
Adieu sauvage
En présence du réalisateur
Le réalisateur Sergio Guataquira Sarmiento, lui-même descendant d’une communauté autochtone colombienne presque disparue, part à la rencontre des Cacuas pour parler de leurs sentiments, de leurs amours, de leur solitude… et renouer ainsi avec sa propre indianité. Tout en humour et en tendresse, les Cacuas tentent de lui apprendre ce que c’est que d’être un autochtone. Cette quête initiatique est une radiographie émotionnelle de tout un peuple.
Production Fox the fox (Micha Wald), Grand Angle Productions Image David Garcia Son Nicolas Pommier Montage Noé Bries Silva Musique Clémentine Pacalet
Vendredi 19 avril
20h30
La Bugée
La Bugée
Les grandes lessives à la cendre dans le Marais du Poitou.
Avec les habitant·es des villages de Coulon et La Garette, sous la direction de Pierre Gurgand.
Assistants Jacques Lavigne, Henri Cordreaux Photographe André Pignoux Son F.R. Harmand Caméra Alain Dupeux
Vendredi 19 avril
20h30
Femmes de mineurs
En présence des réalisatrices
Femmes de mineurs
En présence des réalisatrices
Ce fut un film initiatique pour toutes les deux. Ces femmes, au moment de notre rencontre, ont compris que la fermeture des mines est irréversible, elles voient leur mode de vie et l’avenir de leurs enfants totalement remis en cause, avec le sentiment d’avoir été coupées du reste de la société par un système très paternaliste.
Marie-José Aiassa et Valérie Deschênes
Dans le bassin minier, entre Lens, Sallaumines et Liévin, des stages de formation et de réalisation de cinéma direct ont été mis en place par Pierre Gurgand et l’Institut national d’Éducation populaire entre 1976 et 1983. C’est dans ce mouvement que Marie-José Aiassa et Valérie Deschênes ont réalisé Femmes de mineurs.
Samedi 20 avril
11h00 > 13h00
Opéra-trigo
Opéra-trigo
L’un des volets de la collection La geste paysanne, poème cinématographiques célébrant la civilisation paysanne.
Image Jacques Lavigne, Pierre Gurgand Musique Luis Cillia, Luc Mallaprade
Samedi 20 avril
11h00 > 13h00
Ciel d’eau
Ciel d’eau
Un film de cinéma direct dans les marais du Poitou : les radeaux, l’eau, la vie…
Image André Moreau, Pierre Gurgand Musique D. Dupont-Raybaud
Samedi 20 avril
11h00 > 13h00
Préambule
Préambule
Réalisation collective d’une équipe de l’UPCP (Union pour la culture populaire en Poitou-Charentes et Vendée) sous la conduite de Pierre Gurgand.
L’histoire d’un mariage traditionnel en route vers le temps présent…
Samedi 20 avril
14h00
Transfariana
En présence du réalisateur, de l'assistante de réalisation Julia Rostagni & de la productrice Raphaèle Dumas
Transfariana
En présence du réalisateur, de l'assistante de réalisation Julia Rostagni & de la productrice Raphaèle Dumas
À la Picota, prison de haute sécurité au sud de Bogotá, le mariage
d’un guérillero des FARC avec une ex-prostituée transgenre condamnée à la réclusion à perpétuité a d’abord provoqué le scandale, puis une transformation des mentalités. À partir du récit de ces noces rebelles, le film décrit la rencontre entre deux formes de combats, deux modèles de luttes qui se transforment en s’interpénétrant. FARC et LGBTI même combat ? Entre univers carcéral, réseau urbain de Bogotá, et campagne colombienne, la caméra guette les signes des mouvements discrets
qui président aux changements d’une société.
Après la projection, nous prendrons le temps d’aborder les différentes étapes de production, de tournage et de montage du film, qui fut une aventure à tous les stades de sa fabrication.
En partenariat avec Otra Tierra
Un film aidé par la Région Sud
Production Mujō Production Image Joris Lachaise Montage Jérémie Gravayat & Joris Lachaise Assistanat de réalisation & Son Julia Rostagni
Samedi 20 avril
18h30
Asunción
Asunción
Parabole anarchiste, transgressive et pleine d’humour sur la rébellion d’une employée domestique qui refuse de jouer le jeu.
Mayolo et Ospina révèlent ici l’un des plaisirs coupables de leur cinéphilie : le film d’horreur et la culture gothique tropicale. Mais ils n’oublient pas Jean Genet et Luis Buñuel ! Ces références sont à la base d’un conte insolent sur l’exploitation domestique.
Federico Rossin
Production Producciones Caligari Écriture Luis Ospina, Carlos Mayolo, Andres Uribe Image Roberto Álvarez, Enrique Forero Son Luis Ospina Montage Luis Ospina Interprétation Marina Restrepo
Samedi 20 avril
21h30
Rewind & Play
Rewind & Play
Décembre 1969, Thelonious Monk arrive à Paris. Avant son concert du soir, il enregistre une émission pour la télévision française. Les rushes qui ont été conservés nous montrent un Thelonious Monk rare, proche, en proie à la violente fabrique de stéréotypes dont il tente de s’échapper. Le film devient la traversée de ce grand artiste, qui voudrait n’exister que pour sa musique. Et le portrait en creux d’une machine médiatique aussi ridicule que révoltante. Le film d’Alain Gomis compose du même élan un hommage à l’immense musicien et une analyse implacable de multiples formes de domination.
Production Sphere Films Écriture & Montage Alain Gomis Son & mixage Matthieu Deniau
Dimanche 21 avril
15h30
De cierta manera
Présenté par Federico Rossin, programmateur indépendant et historien du cinéma
De cierta manera
Présenté par Federico Rossin, programmateur indépendant et historien du cinéma
Premier long métrage dirigé par une cinéaste femme à Cuba, De cierta manera narre l’histoire d’amour entre une institutrice et un ouvrier sur l’arrière-plan du « Quinquennat Gris » (1971-1976), période de déviation autoritaire de la politique culturelle de la Révolution. À travers l’histoire de la construction d’un quartier de La Havane par ses propres habitants, Sara Gómez interroge, avec énergie, la société qui l’entoure, en plein chamboulement social. Elle tente de comprendre cette Révolution sans se voiler la face, en se rapprochant au plus près des marginaux, ces oubliés de la société.
Production Instituto Cubano de Arte e Industria Cinematográficos Écriture Sara Gómez, Julio Garcia Espinosa, Tomas Guttiérrez Alea, Tomas Gonzalez Perez Image Luis Garcia Son Germinal Hernández Montage Iván Arocha Musique Sergio Vitier
Dimanche 21 avril
18h00
Les murs de Bergame
En présence du réalisateur
Les murs de Bergame
En présence du réalisateur
Bergame, mars 2020 : l’épidémie de Covid-19 a éclaté avec une violence inouïe et la ville, à l’intérieur de ses murs, est un corps malade, un ensemble de cellules, de tissus, d’organes qui ne communiquent plus. Les murs de Bergame est un film qui relie le passé et l’avenir, qui soutient la communauté à travers le patient travail de reconstruction de ce tissu intime, familier et social que la pandémie a détruit.
Image & son Stefano Savona, Danny Biancardi, Sebastiano Caceffo, Alessandro Drudi, Silvia Miola, Virginia Nardelli, Benedetta Valabrega,
Marta Violante Montage Francesca Sofia Allegra, Davide Minotti, Sara Fgaier Musique Giulia Tagliavia