Festival 2022
The Balloonatic


The Balloonatic
Cœur désespérèment solitaire, Buster erre au parc d’attractions lorsqu’il se retrouve par accident emporté sur une montgolfière.
Cette dernière l’emmène fort loin et après un atterrissage forcé au bord d’une rivière, notre héros fait la connaissance d’une campeuse.
Festival 2023
Todas por uma


Todas por uma
Toutes pour une suit le processus de création de la pièce As Comadres, au Brésil, sous la supervision d’Ariane Mnouchkine, fondatrice du Théâtre du Soleil. Vingt comédiennes sont réunies sur scène pour travailler une comédie musicale. Une opportunité unique de voir une légende vivante du théâtre mondial diriger ces comédiennes qu’elle rencontre pour la première fois. Le film montre l’effort constant de ces femmes pour échapper aux mécanismes dominants, surmonter l’emprise des egos, et par un travail acharné, faire œuvre commune. Un acte de résistance artistique, féministe et politique, dans le Brésil meurtri des années Bolsonaro.
Production Jeanne Dosse, Feever Filmes
Image Jeanne Dosse, Gillian Villa, Stefan Kolumban Hess, Isabella Raposo
Montage Juliana Guanais, Jeanne Dosse
Festival 2023
Tout peut arriver


Tout peut arriver
Présenté par Federico Rossin, programmateur et historien du cinéma
Par une douce journée de printemps, un petit garçon file sur sa trottinette sous l’ombre des arbres dans un parc de Varsovie. Assis sur les bancs, des vieillards discutent ou bouquinent. Le petit Tomek découvre les miracles de la nature, admire un paon qui fait la roue, enfourche sa trottinette, et s’arrête devant l’un ou l’autre des bancs. C’est à ce moment-là que naît le dialogue entre les générations.
Ce film est sous-titré mais il est accessible aux enfants dès qu’ils savent lire !
En partenariat avec Documentaire sur grand écran
Production Studio Filmowe Kalejdoskop
Image Artur Reinhart Son Halina Paszkowska
Montage Katarzyna Maciejko-Kowalczyk
Festival 2022
Toute une nuit sans savoir


Toute une nuit sans savoir
En présence du producteur (Petit Chaos) et du distributeur Clément Dussart (Norte)
Une étudiante indienne écrit des lettres à son amoureux absent. À travers cette correspondance se révèlent les changements radicaux qui s’opèrent autour d’elle. Mêlant la réalité avec des rêves, des souvenirs, des fantasmes et des peurs, une narration éparse se dévoile.
” Toute une nuit sans savoir est un film de correspondances. D’abord de fiévreuses lettres d’amour anonymes puis le récit de révoltes étudiantes où se mêlent peur et colère. Entre la tristesse d’une relation épistolaire devenue unilatérale et l’investissement politique des élèves d’une école de cinéma, Payal Kapadia enflamme une traînée de poudre. L’explosion est politique et onirique, renouant avec le cinéma militant grâce à un montage qui alterne scènes tendres et intimes, ou peuplées de fureur collective. Une somptueuse expérience de cinéma qui pousse à l’engagement militant et amoureux. OEil d’or à Cannes. ” Victor Courgeon
Production Petit Chaos Scénario Payal Kapadia, Himanshu Prajapati Image Ranabir Das Son Moinak Bose, Romain Ozanne Montage Ranabir Das
Festival 2023
Urszula et le prix de la liberté


Urszula et le prix de la liberté
En 1974, à Szczecinek, Urszula vit seule avec sa mère dans la ferme dont elle s’occupe. Elle se passionne pour la littérature et le théâtre. Cela suffit à en faire l’attraction des média… Vingt-trois ans après ce premier film, Łoziński retourne filmer Urszula.
Production Studio Filmowe Kalejdoskop
Image Jacek Petrycki
Montage Katarzyna Maciejko-Kowalczyk
Festival 2019
Ya Oulidi ! Le prix de la douleur


Ya Oulidi ! Le prix de la douleur
En présence de Joseph Marando, réalisateur.
Un funeste 18 octobre 1980, Lahouari Ben Mohamed, âgé de 17 ans, est tué par les balles d’un CRS lors d’un contrôle de police. Quels chemins ont alors pris la famille, les jeunes amis de Lahouari et les habitants de la cité des Flamants, dans les quartiers Nord de Marseille ? Ya Oulidi ! Le prix de la douleur part à la rencontre des protagonistes de ce drame.
Les RDV de Numéro Zéro
Ziyara


Ziyara
En présence de Simone Bitton
“Ziyara”, c’est la visite aux saints, une pratique populaire commune au juifs et aux musulmans du Maroc. Aujourd’hui les juifs sont presque tous partis, mais leurs saints sont toujours là. La réalisatrice va à la rencontre de leurs gardiens, humbles et magnifiques protecteurs musulmans de sa mémoire juive. La blessure de la séparation est encore béante, l’écho des guerres d’Orient plane silencieusement sur la rencontre, mais la caméra retisse le lien, recueille anecdotes, sourires, hospitalité et bénédictions, portant le film vers une nouvelle complicité entre filmeuse et filmés.
Simone Bitton est née au Maroc et a fait des études de cinéma en France (IDHEC). Elle a vécu à Rabat, à Jérusalem et à Paris, et vit actuellement entre la France et le Maroc.
Avant ZIYARA, elle a réalisé deux longs métrages documentaires qui ont été distribués en salles, en France et dans une dizaine de pays. MUR, en 2004 et RACHEL, en 2009. Auparavant, elle avait réalisé une quinzaine de films et séries documentaires pour la télévision.
De styles différents, allant du montage d’archives à la méditation cinématographique, en passant par l’enquête intime, l’essai, le road movie, le portrait d’écrivain ou de musicien, ses films témoignent d’un engagement humain et professionnel pour une meilleure appréhension de l’actualité, de l’histoire et des cultures d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient. Son engagement est aussi celui de la rigueur formelle et du regard personnel assumé.
Depuis 2014, elle enseigne au département cinéma de l’Université de Paris 8. Elle encadre aussi des stages de réalisation documentaire aux Ateliers Varan, ainsi que des ateliers documentaires au Maroc.
Festival 2020, Festival 2021
Zumiriki


Zumiriki
En présence de Oskar Alegria, réalisateur
Autrefois, il y avait une île. Aujourd’hui, à la suite de la construction d’un barrage, l’eau de la rivière l’a recouverte. Avec cette île a été engloutie l’enfance du cinéaste, qui venait y jouer et y rêvasser près de la bergerie de son arrière-grand-mère. Il décide de partir à la reconquête de son passé. Une cabane, une horloge en panne, un potager et deux poules vont suffire à un quotidien de solitude.
Il y a aussi une vache mystérieuse qui hante le paysage… L’enfance, la mémoire et la magie du cinéma se rencontrent dans ce film unique en son genre, qui regorge d’inventivité, de poésie et d’onirisme.
Production Emak Bakia Films Réalisation, image, montage Oskar Alegria Son Oskar Alegria, Haimar Olaskoaga Musique originale Ainara Legardon, Xabier Erkizia, Elias Alegria, Maria Azcona